Faisons connaissance
L’histoire de ma vie
D’assistante de direction à psychopraticienne il n’y a qu’un pas… Après 20 années passées dans la fonction publique territoriale, j’ai réalisé que ma place n’était pas derrière un bureau. Ce que je faisais le mieux dans mon métier c’était accueillir mes collègues dans mon bureau pour écouter ce qui se jouait en eux lors de difficultés. Ils trouvaient une oreille attentive, neutre, sans jugement, un espace où ils pouvaient déposer leur charge émotionnelle en toute confiance.
On pouvait me dire que j’avais tout, que j’étais tranquille, sans peur du lendemain, que j’avais des collègues formidables, j’ai eu de belles années et fait de belles rencontres. Elles ont d’ailleurs compté pour la suite. Mes qualités humaines et professionnelles étaient reconnues. Alors quoi ?! Alors merci la vie pour cette première partie de vie professionnelle édifiante et formatrice !
Il m’a fallu du temps mais j’ai décidé de faire éclore ce qui sommeillait en moi, le besoin et la disposition à me former et travailler dans la relation d’aide. Le moment était venu ! Le tournant était là, devant moi !
J’allais faire mon chemin, forte d’expériences, de rencontres, de souvenirs, déterminée à être en accord avec moi-même.
Ma vie personnelle, les difficultés, les résiliences, sont aujourd’hui autant de capacités à l’empathie. Bien plus formateur que n’importe quel diplôme universitaire, le chemin de vie forme à toutes les situations à accueillir avec respect et bienveillance.
Ma formation
Première étape dans mon parcours d’apprentissage des mécanismes psychiques, des pères fondateurs de la psychanalyse, de confiance en soi, j’ai commencé par une licence de psychologie avec l’université Rennes2 à distance.
Mon but étant d’obtenir une spécialisation en psycho-généalogie, matière à laquelle je crois profondément, et en accompagnement du deuil, j’ai poursuivi ma formation de psychologie au sein de l’institut Cassiopée qui m’a permis de parfaire mon parcours d’études dans la cohérence, la confiance et la bienveillance, parcours de légitimation de soi.
Ma philosophie – Mes valeurs
Notre chemin de vie peut parfois sembler long si on ne s’attache pas à le rendre plus doux. Souvent nous n’y parvenons pas car nous pensons ne pas avoir les armes nécessaires pour nous délester de ce qui nous encombre.
Convaincue que chacun possède en lui les capacités de faire des choix conscients, de rebondir quand les situations semblent perdues, j’ai à coeur de faire découvrir ces capacités, de faire éclore le potentiel contenu en chacun dans sa singularité, pour une vie plus lumineuse.
Fondamentalement contre le jugement, je pense qu’il pèse sur celui qui le reçoit. Qui peut savoir ce que l’autre porte en lui, de blessures, de cicatrices, de batailles intérieures ? Faut-il le juger pour l’aider ? Qui mieux que lui sait son combat ? Ce qu’il laisse paraître ne correspond pas à ce qu’il a dans son sein. Le juger ne lui permet pas de transcender ses épreuves pour en faire des forces.
C’est pour ces raisons que je porte en moi les valeurs de bienveillance, de respect et d’empathie.
Mes sources d’inspiration
C’est lui qui a fait découvrir le terme de résilience qui signifie « renaître de sa souffrance ». Cet homme est un exemple de combativité et d’humilité. Faire des épreuves des forces me parle profondément. Rien ne doit être fatalité, tout peut être surmonté.
Philosophe et écrivain contemporain, Alexandre Jollien est né handicapé moteur et cérébral. Placé en institution jusqu’à 20 ans il a ensuite fait des études de lettres et de philosophie. Marié et père de 3 enfants, il m’inspire le non renoncement à ses rêves.
Le hygge parle d’ambiance et d’expérience, plutôt que de choses tangibles : c’est être avec les personnes que l’on aime. Le sentiment d’être à sa place, comme à la maison. La sensation d’être en sécurité, protégé du monde extérieur, et de pouvoir enfin baisser la garde.
Je l’ai pratiqué pendant 8 ans en compétition. Ce sport, autant fait de technique que de grâce évoque pour moi l’enfance, l’exigence et la liberté. Aujourd’hui encore je rêve de vitesse, de pirouettes dans les airs et sur la glace.
Elle évoque mon enfance, mais aussi la littérature, la profondeur des sentiments, la rudesse et la combativité. D’Etretat au Mont-Saint Michel en passant par Deauville, Honfleur, Cabourg, les plages du débarquement, le bord de mer semble chargé d’histoire et de promesses, d’infini champ des possibles.
« Le privilège d’une vie c’est de devenir la personne que vous êtes vraiment »
Carl Gustav Jung