2 Août 2021

You spend most time in your head…Make it a nice place to be !

Il est des rencontres qui changent votre vie. J’ai fait de nombreuses rencontres, avec des livres, qui on changé ma vie, en tout cas ma vision de celle-ci. Je me souviens d’une lecture qui m’a un peu agacée en philo, il s’agit de « Candide » de Voltaire. Comment pouvait-on être aussi naïf. Comment ce Candide pouvait-il encore trouver le moyen de se réjouir alors même qu’il marchait (au sens littéral du terme) sur le corps de ses amis morts au combat ?

Je me suis promis que jamais, au grand jamais je ne serais stupide à ce point. La candeur ne ferait pas partie de ma vie !

Et puis, j’ai compris. J’ai compris qu’un verre contient toujours une partie vide et une partie remplie (à moins qu’on le remplisse à ras bord j’en conviens…). Et que passer sa vie à voir le verre à moitié vide n’apportait pas le bonheur. Alors, aujourd’hui, j’ai envie de partager avec vous mon avancée sur le sujet. Même si autour de nous les choses ne sont pas parfaites, et que parfois elles sont carrément noires, il y a forcément une ou des autres choses qui vont bien.

J’ai lu dernièrement beaucoup de posts sur les réseaux sociaux qui (ra)contaient les bienfaits de la reconnaissance. Et justement, elle fait partie de ce chemin vers le positivisme qui n’est pas de la candeur mais bien un baume guérisseur pour notre esprit et notre corps.

J’ai envie de vous proposer de veiller sur vous-même en essayant d’acquérir le réflexe de choisir de voir tout ce qui va bien aller plutôt que de faire un focus sur tout ce qui ne va pas.

J’en conviens, se plaindre a un côté sympa, on se tape dans le dos, on s’écoute, ça créé des sujets de discutions. Mais une fois rentré chez soi, seul avec soi-même, quoi de plus déprimant au fond.

Alors, non au « tout est pour le mieux dans le meilleur des monde » (Candide sort de ce corps), mais oui à Marc Levy « Il y a ceux qui voient les choses telles quelles sont et qui se demandent pourquoi. Moi je les vois telles qu’elles pourraient être et je me dis pourquoi pas ! »